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#057 – Only connect

Une fois n’est pas coutume, rendez-vous outre-Manche pour découvrir un concept qui n’a pas eu l’honneur de débarquer par chez nous… enfin, du moins, pas sur le PAF.
En effet, si Only connect n’a jamais été adapté sur une chaîne de télévision française (… un jour peut-être, même si j’aurais un peu de mal à en voir une dont ce serait l’état d’esprit), il a néanmoins eu droit à une adaptation sur Twitch, nommée Liaisons dangereuses. Je la conseille d’ailleurs aux francophones qui seraient intéressés par la découverte de ce concept, et qui auraient du mal à suivre un visionnage de la version anglaise. Chose amusante, d’ailleurs : peu de temps avant que je ne publie cet article, Benjamin Benoit, l’auteur de cette adaptation francophone, a annoncé qu’il rejoignait l’équipe de rédaction du jeu original !
Parce que si vous regardez une émission de Only connect telle quelle… vous risquez d’être un peu désarçonnés (et c’est un euphémisme). Car non seulement vous découvrirez sur le tas un principe un peu difficile à expliquer (même s’il reste assez simple à comprendre en son for intérieur) ; mais de plus, vous risquez d’être un peu confrontés à la barrière linguistique et/ou culturelle (qui n’empêche certes pas de répondre à quelques énigmes en faisant fi) ; d’autant plus que ce jeu se lâche complètement au niveau de sa difficulté.

Mais force est de constater qu’outre-Manche, ça n’a pas découragé le public d’avoir un jeu aussi élitiste à l’antenne, puisque celui-ci existe depuis 2008, et continue à être diffusé tous les ans par la suite par la vénérable BBC (nonobstant un changement de chaîne entre temps), si bien qu’il était toujours là en 2022. Pendant que nous, en France, la même année, la direction de France Télévisions cherchait au contraire à savonner la planche de Des chiffres et des lettres, comme si elle avait honte de diffuser des programmes mettant la réflexion en valeur… (et, non, 100% logique ne compte pas, car ce jeu est très loin d’arriver à la cheville de Only connect question difficulté globale)
Bref. Son format est cependant assez particulier, dans la mesure où chaque saison va prendre la forme d’un tournoi, faisant s’affronter des équipes de trois candidats ; chaque émission montrant la confrontation entre deux équipes. Le but de chaque saison est de déterminer l’équipe qui remportera la victoire pour l’année en cours. Saisons qui sont devenues plus longues au fil des années, les premières n’excédant pas 16 épisodes, pour augmenter par la suite (avec un pic à 37 épisodes pour les saisons 2016 et 2017 !).
Et je pense que c’est ce format de championnat saisonnier (si on ne compte pas les émissions spéciales diffusées en dehors) qui joue en la faveur de la longévité d’Only connect, car je reconnais que c’est un jeu qui passerait peut-être moins bien avec une fréquence de diffusion plus soutenue.

Mais commençons déjà par présenter le principe de ce jeu…

Manche 1

La manche 1 va introduire l’idée de base du jeu, qui sera reprise pour l’essentiel des différentes manches.

Le but du jeu est (pour la plupart des manches) de trouver le lien entre différents indices donnés. Par exemple, si les indices sont « Pomme », « Banane », « Pêche » et « Kiwi », le lien sera « Ce sont des fruits ». Bon, c’est un exemple particulièrement simple, évidemment le jeu va trouver des liens plus corsés.
Vu comme ça, ça fait un peu penser à la manche « La suite… » de La Cible, où il fallait deviner le thème commun aux trois réponses introduisant la manche, pour pouvoir en citer d’autres qui correspondaient. Et c’est effectivement un peu l’idée… mais avec un processus de réflexion pour trouver le thème commun bien plus poussé, et bien plus flexible.
Parce que les indices donnés peuvent prendre des formes diverses, aussi bien au niveau de leur apparence (on peut parfois avoir des extraits sonores ou des images) que de leur signification. Et ce jeu adore s’amuser à proposer des thèmes corsés et tordus, avec des liens logiques qu’il faut parfois aller chercher loin, ou auxquels on ne penserait pas immédiatement. Avec même parfois des références assez pointues.

Par exemple, on peut avoir les indices « Ecole élémentaire », « Centrale nucléaire », « Supermarché » et « Chez eux » : et la réponse sera alors… (je vous mets une balise spoiler, au cas où vous voudriez réfléchir de votre côté)

Les endroits dans lesquels on retrouve la famille Simpson dans le générique de leur série

Ca devient tout de suite beaucoup moins évident, n’est-ce pas ?


Par exemple, ici, le lien entre les quatre images était le suivant : ce qui était montré par les images avait un nom évoquant différentes variétés de pâtes alimentaires (pen : penne ; worm : vermicelli ; butterfly : bow tie / farfalle ; shell : coquillage).
C’est très tordu, oui…

La façon dont la manche 1 va exploiter ce concept est la suivante.
Tour à tour, les équipes vont choisir parmi six « thèmes » proposés ; puis l’équipe dont c’est la main va avoir des réponses qui vont être dévoilées au fur et à mesure, à la demande de ses membres. S’ils pensent avoir trouvé le lien entre les différentes réponses, ils peuvent buzzer, puis faire une proposition. Si elle correspond à ce qui est attendu (la formulation peut être libre), ils remportent les points (avec seulement la première réponse, ils en remportent 5 ; avec la deuxième en plus, ils en remportent 3 ; avec trois réponses, 2 points ; avec les quatre réponses, seulement 1 point). Sinon, l’autre équipe peut formuler une proposition à son tour (quoi qu’il arrive, elle ne vaudra qu’un point, mais les indices seront tous révélés).


Sinon, pour le choix de la question : oui, c’est une petite particularité de ce jeu… on aurait tout aussi bien pu demander aux candidats de choisir un nombre entre 1 et 6, ou une lettre entre A et F pour identifier les questions ; mais Only connect a préféré se donner un style en mettant des hiéroglyphes à la place. Original.

Notons par ailleurs que, parmi les six questions, il y en aura toujours une dont les réponses seront des images, et une dont les réponses seront des extraits sonores ou musicaux.
Autant pour les images, je ne dis rien ; autant pour les extraits musicaux… il y a un léger problème à mon sens, car le fait de devoir écouter les réponses prend un peu plus de temps que de juste les voir, ce qui pose un peu problème pour une manche chronométrée (sans compter qu’il faut également les mémoriser). Ce n’est pas étonnant qu’elles soient souvent considérées comme étant les plus difficiles de cette manche, rien qu’avec cette contrainte de format. Mais ça appuie la diversité des indices, donc c’est une bonne idée tout de même.


Profitez de cette question, pour une fois que nous, français, n’avons pas besoin de l’anglais pour y répondre.
D’ailleurs, elle en devient même plus difficile pour le public anglophone, du coup…

Manche 2

Le principe de la manche 2 va être le même dans l’idée, avec là encore six thèmes proposés pour les candidats (si ce n’est qu’il n’y a pas forcément de question musicale cette fois-ci).
En revanche, contrairement à la manche 1, où les différentes réponses n’étaient pas proposées dans un ordre particulier (à part peut-être le fait qu’on gardait les plus « évidentes » pour la fin), cette fois-ci, l’ordre dans lequel les réponses vont être proposées va être important.
Exemple tout simple : si les indices (proposés dans l’ordre suivant) sont : 1, 4, 9 et 16, le lien qui reliera les différentes réponses sera : « Le carré des nombres entiers positifs par ordre croissant » (1², puis 2², puis 3², etc.).

Cependant, le but des candidats ne sera cette fois-ci pas de citer le lien, mais la dernière réponse.
En effet, cette fois-ci, on ne dévoile au maximum que les trois premières réponses (toujours à 5, 3 puis 2 points). Les candidats devront déterminer le lien qui unit ces trois réponses ; puis, à partir de ce lien, citer la quatrième réponse attendue.
Donc pour reprendre l’exemple précédent avec les carrés des nombres positifs : on aurait dévoilé aux candidats le « 1 », puis le « 4 », puis le « 9 » ; et il aurait fallu qu’ils devinent le « 16 » par eux-mêmes.

A nouveau, si l’équipe qui a la main ne trouve pas la réponse, l’équipe adverse peut tenter de trouver la réponse pour 1 point.

Mais, comme c’est le cas pour la manche 1, vous vous doutez là encore que le lien qui unit les réponses n’est pas toujours évident.
D’ailleurs, il n’est pas rare non plus que certaines réponses soient « composées », et ne résident pas forcément qu’en un seul indice, mais en une imbrication de plusieurs.
Par exemple, si ce jeu avait existé en France, on aurait pu avoir une question dont les réponses auraient été « 2019 : Kévin vs. Élodie », « 2020 : Arsène vs. Mickaël » et « 2021 : Arsène vs. Toni ». Ici, la réponse aurait été :

« 2022 : Hervé vs. Renaud »
En effet, il fallait d’abord trouver le lien commun, qui était « Les matches de finale des Masters de N’oubliez pas les paroles » ; puis comprendre l’ordre proposé, qui était 2019, 2020 et 2021 ; pour enfin déterminer quel match avait été joué en finale en 2022, et proposer cette réponse.

(… je vous avoue que je me suis un peu fait plaisir sur cet exemple très spécifique, désolé. Mais bon, parfois, ce n’est pas tellement plus simple dans la vraie émission…)

Notons au passage qu’il peut arriver qu’il y ait plusieurs propositions possibles pour la quatrième réponse, du moment qu’elle répond au lien demandé.


Honnêtement, c’est le genre de question que 100% logique aurait pu poser dans le dernier quart du jeu… mais Only connect a sorti ça en manche 2. C’est vous dire le niveau !

La solution était : il fallait trouver un mot de 5 lettres, avec deux voyelles, correspondant respectivement à la 1re et 2e voyelle de l’ordre alphabétique ; puis la 2e et 3e, puis la 3e et 4e…
Donc il fallait citer un mot de 5 lettres, ayant comme voyelles le O et le U (soient les 4e et 5e voyelles de l’alphabet), par exemple : « FOCUS ».

Manche 3

Pour la manche 3, les équipes vont jouer individuellement.
Celles-ci seront confrontées à un ensemble de 16 réponses données, qu’il faudra associer quatre par quatre, selon le même principe que pour les manches précédentes.
Cette fois-ci, on ne demandera pas les thèmes aux candidats, mais juste les associations d’idées. Par exemple, si on a les réponses « Pomme », « Poire », « Abricot » et « Kiwi », on ne demandera pas aux candidats de dire « Ce sont des fruits », mais juste d’associer ces quatre réponses entre elles (en ayant implicitement trouvé le thème). On reviendra à l’issue de la manche sur les différents thèmes qu’il fallait implicitement deviner.

L’équipe propose une association de quatre réponses ; si celle-ci est validée, les réponses données sont figées, et les candidats doivent alors trouver les associations restantes. Si elle n’est pas validée, elle peut refaire d’autres propositions.
L’équipe peut faire autant de propositions qu’elle veut ; toutefois, elle dispose d’un temps maximal de 3 minutes pour mener sa tâche à bien ; et lorsqu’il ne reste plus que 8 réponses (donc 2 associations à faire), elle ne peut plus faire que trois tentatives de proposition.


Les candidats ont déjà trouvé une liaison de quatre réponses (sur la première ligne), celle-ci étant des personnages de l’univers de Sonic.
Notez que « Knuckles » (qui est aussi un personnage de Sonic) ne figure pas dans cette liaison, car s’il en avait fait partie, il aurait été impossible d’en élaborer une autre…

Cette manche est assez singulière, dans la mesure où c’est au départ qu’elle est la plus corsée, pour se simplifier au fur et à mesure.
En effet, lorsqu’une association entre quatre réponses est effectuée et validée, ça laisse moins de choix pour faire les associations restantes. C’est d’autant plus le cas pour les deux dernières, où si l’on trouve l’une des deux, l’autre est automatiquement effectuée. D’où l’idée de ne laisser que trois tentatives de propositions à la fin, pour que les candidats ne soient pas tentés de faire les associations au hasard…

Par ailleurs, j’aime bien le fait que cette manche profite de jouer sur plusieurs thèmes pour proposer des réponses volontairement valables sur deux thèmes différents. C’est assez fourbe, mais c’est quand même ce qui fait l’intérêt de cette manche… et ça ne reste pas non plus trop pénalisant, dans la mesure où les candidats ne peuvent pas valider une association de quatre réponses qui ne soit pas attendue par la production. Dans l’exemple ci-dessus par exemple, les candidats n’auraient quoi qu’il arrive pas pu mettre « Knuckles » à la place de « Amy Rose », puisque ce n’était pas l’association attendue par la production.

Plus les candidats font d’associations de réponses, plus ils marquent de points.

Manche 4

Après tout ce que je viens de vous présenter jusqui’ici, la quatrième (et dernière) manche va être une vraie bouffée d’oxygène pour nos cerveaux en ébullition.
En effet, c’est la manche dont le principe est le plus simple à comprendre, celle qui nécessite une réflexion moins poussée que le reste… mais aussi celle qui jure le plus avec l’esthétique que le jeu cherche à se donner à mon sens.

Cette fois-ci, les équipes vont directement s’affronter au buzzer.
Durant le temps restant d’émission, on va demander aux candidats de trouver des réponses correspondant à des thèmes donnés (on change de thème toutes les quatre questions), avec la réponse déjà affichée à l’écran… mais sans les voyelles, et avec les éventuelles espaces proposées dans le désordre.
Chaque bonne réponse rapportera un point à l’équipe qui l’a trouvée ; sinon, l’autre équipe peut tenter une réponse à son tour (ça a évolué au fil du temps, au départ il n’y avait aucune pénalité pour l’équipe qui répondait mal, puis elle avait une pénalité d’un point, puis c’est l’autre équipe qui a une chance de répondre).


Rajoutez des voyelles, changez les espaces de place, et essayez de deviner ce qu’un vendeur de voitures d’occasion aurait pu dire…

Alors, en soi, c’est un bon principe, évidemment. Et, comme je le disais, pour le commun des mortels, c’est plus accessible que la plupart des énigmes proposées jusqu’alors, ce qui peut rendre cette manche moins frustrante pour le spectateur. Mais… on sent aussi que c’est la manche la moins inspirée du jeu, et de loin.
Contrairement aux manches précédentes, qui étaient davantage un exercice d’écriture pour les rédacteurs des questions ; ici, on se contente de prendre un principe déjà tout prêt, et de l’appliquer à des réponses toutes faites.

En fait, telle quelle, cette manche aurait tout à fait pu être tirée de la manche 3 de TLMASMAD, puisque c’est le même état d’esprit : une manche de confrontation directe entre trinômes, où on donne un thème, suivi de la structure de la réponse à trouver (ici, on a pris la réponse et enlevé toutes les voyelles au préalable). Ca m’étonne d’ailleurs un peu que TLMASMAD n’ait encore jamais dégainé ce concept pour sa troisième manche, c’est tout à fait le genre de concept qu’ils auraient pu mettre en avant… après, je ne me plains pas, étant donné que je préfère très largement l’ambiance de Only connect à celle de TLMASMAD…

En outre, je suis également un peu moins fan du fait que cette manche n’a pas vraiment de nombre de questions prédéterminé, ni de chronomètre global bien défini. On se contente juste de les enchaîner, jusqu’à ce que le temps imparti à la case horaire (en incluant le reste du jeu) ne soit écoulé. Bon, ce n’est pas le seul jeu que je connaisse à faire ça (La roue de la fortune aussi pouvait décider de lancer le dernier tour de roue en manche 4 à n’importe quel moment, pour les mêmes raisons)… mais ça n’empêche pas le fait que je trouve ça un peu bâclé. Je conçois que les impératifs de case horaire peuvent pousser à prendre ce genre de décision pour que le jeu ne dépasse pas, mais dans le cas présent, je pense qu’on aurait pu s’en sortir même avec une manche au format fixe…
Après, je conçois que ça permet d’appuyer un peu un certain suspense, dans la mesure où ni le spectateur, ni les candidats se doutent de quand la dernière question va être posée.

L’ambiance et le format de tournoi

Parlons enfin d’un point qui peut me faire revoir à la hausse (ou à la baisse…) un jeu à lui seul : l’ambiance.
Et à ce niveau-là : si vous trouviez que Des chiffres et des lettres était un jeu un peu trop austère… vous n’avez pas encore vu Only connect.


C’est très sombre et sobre !

Déjà, le générique (de même que la plupart des jingles de transition) est un instrumental uniquement joué par des instruments à cordes, et évoque davantage une émission littéraire qu’un jeu télévisé. Dans certaines émissions, d’ailleurs, il est possible de voir un quartette composé de trois violonistes et d’un violoncelliste.
Ensuite, le plateau reste assez minimaliste, de par l’absence de public, laissant seulement les candidats et l’unique animatrice présents à l’antenne, au sein d’un décor faisant la part belle aux couleurs froides.
Et on sent que personne n’est là pour rigoler (bon, ça peut toujours arriver un peu nerveusement, bien sûr), et que tout le monde prend le jeu au sérieux.

Bon, je ne vais pas vous ressortir ce que j’ai dit là-dessus au sujet de Des chiffres et des lettres (d’autant plus que là, c’est même un cran au-dessus). Personnellement, j’aime bien quand un jeu se prend au sérieux, ça montre qu’il prend son concept à cœur ; et dans le cas d’Only connect, il a de quoi en être fier.

Total : 16,5/20

Je pense m’avancer, sans trop me tromper, qu’Only connect doit être le jeu le plus difficilement accessible que je n’aurai sans doute jamais traité sur ce blog (à côté, Pyramide serait presque un parangon d’accessibilité pour les néophytes). Même indépendamment de la barrière linguistique, le niveau de réflexion nécessaire pour trouver avec succès les bonnes réponses aux « énigmes » proposées est tout de même très élevé, et l’est d’ailleurs volontairement. De fait, je comprendrais tout à fait qu’une bonne partie du public n’y trouve pas son compte.
Néanmoins, c’est un principe qui mérite d’être découvert. J’ai énormément de respect pour ce jeu, à la fois pour le travail d’écriture des rédacteurs des questions, et pour la volonté de proposer un jeu délibérément difficile, qui ne cherche pas à niveler son contenu par le bas sous prétexte que le public n’aime pas la réflexion. Deux ingrédients qui donnent tout son sel à cette émission.
Bon, ce n’est évidemment pas un jeu sans défaut, puisqu’on retrouve un peu certains travers des jeux basés sur la logique de façon générale (même si ça reste bien maîtrisé ici, et mieux que dans 100% logique), ainsi qu’une manche plus faiblarde en comparaison du reste ; mais ça reste compensé par une idée de base assez solide et originale, confortée par une très bonne exécution du concept. Bref, un genre de jeu que j’aurais aimé voir plus souvent sur nos ondes, personnellement.

Mais bon, notre PAF n’est pas non plus exempt de jeux intéressants non plus ! Je vais d’ailleurs en faire un tir groupé pour la prochaine fois.

garsiminium

Enchanté, moi c'est garsim. Bienvenue sur mon blog, où je parle de différents sujets, légers comme moins légers.

Cette publication a un commentaire

  1. garsiminium

    En raison d’un trop grand nombre de bots sur cet article (qui, visiblement, sont attirés comme des mouches par le titre « Only connect », puisqu’il n’y a que celui-là qui est concerné…), je suis contraint d’en verrouiller les commentaires. Désolé pour le désagrément.

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