… ne me demandez surtout pas comment il m’est venu à l’esprit de vouloir faire une critique de Chéri(e), fais les valises.
Parce que ce n’est même pas un programme que j’ai regardé à l’époque durant laquelle c’était diffusé (2012) ; donc, oui, c’est volontairement un truc que j’ai rattrapé une dizaine d’années plus tard. Et alors que j’avais pourtant dans ma liste de (re)visionnage bien d’autres jeux qui m’intéressaient davantage… pour une raison qui m’échappe encore aujourd’hui, c’est l’un de ceux que j’ai rattrapés en premier, alors qu’à la base je ne comptais même pas le traiter.
Mais bon, si j’ai traité Le mur infernal, je peux bien traiter celui-ci… et puis au moment où j’ai décidé de finalement en faire une critique, j’étais un peu énervé (je venais d’apprendre que France 3 allait mettre au placard Des chiffres et des lettres et virer deux de ses incarnations comme des malpropres), j’avais besoin de me défouler sur une cible facile ; et ce jeu-là était le candidat idéal. Après tout, vu les images que j’avais en tête au moment de sa sortie sur France 2, ça sentait vraiment le jeu au ras des pâquerettes (pour ne pas dire carrément débile…) ; mais bon, par honnêteté intellectuelle, il fallait quand même que je regarde ceci un peu plus en détail pour pouvoir l’affirmer avec certitude.
Et… j’ai eu à peu près ce à quoi je m’attendais. En moins pire que je ne l’imaginais, mais quand même suffisamment médiocre pour que je puisse me défouler un peu dessus.
L’ambiance de ce jeu… euh, pourquoi ?
Commençons déjà par l’éléphant dans la pièce : l’ambiance un peu excessive sur les bords…
Alors, oui, je le reconnais, c’est un domaine dans lequel je suis un client plutôt difficile, et il y a un bon nombre d’émissions pour lesquelles la légèreté de l’ambiance qu’on veut mettre en place a plutôt tendance à me les faire déprécier. Néanmoins, il arrive tout de même parfois que l’ambiance me happe sincèrement (Catchphrase, Burger Quiz), voire même arrive à rattraper certains défauts dans la mécanique (N’oubliez pas les paroles version maestro, A prendre ou à laisser version Arthur).
Bon, ce n’est clairement pas le cas pour Chéri(e), fais les valises, où on sent qu’on cherche à forcer cette ambiance. D’une façon qui n’est certes pas affreuse non plus, mais qui restait dispensable…
Sur ce point, le générique donne d’ailleurs plutôt bien le ton : volontairement décalé, mais aussi très foutraque, avec des images et des effets un peu disparates (même si ça illustre la thématique du voyage, sur laquelle je reviendrai), ainsi qu’un sonore… euh… à la fois festif et… gênant. Mouais, je vous avoue que la façon dont on a incorporé en voix-off le « Chéri fais les valises » en mode wesh m’a fait rire un peu nerveusement.
Et ce qui témoigne le plus de ma perplexité à ce niveau-là, ça reste les costumes, pour lesquels je ne vois absolument pas ce que c’est censé apporter, à part dire : « On est un jeu basé sur l’ambiance ! », au cas où on ne l’aurait pas compris. Parce que sinon… au moins, je reconnais qu’il se donne à fond à ce niveau-là (même si ça n’empêche pas certains moments ridicules).
Oui, dans N’oubliez pas les paroles aussi, on déguise les Zikos ; mais d’une part, ça ne concerne qu’eux, donc ça reste suffisamment léger ; et d’autre part, les déguisements interviennent pour illustrer certaines chansons, donc ils ne sortent pas de nulle part non plus (… pour la plupart du moins, il y en a toujours quelques-uns montrés dans le générique dont j’ai toujours du mal à comprendre l’utilité). Quant à Intervilles, qui est un programme dont l’état d’esprit a clairement inspiré ce jeu, les déguisements sont utilisés pour thématiser les épreuves, et parfois rajouter des contraintes pour leurs règles.
Ici, en revanche, pas de raison particulière à ce que tout le monde soit déguisé. C’est même un peu contre-productif, dans la mesure où dans certaines épreuves, ça peut être plus handicapant qu’autre chose (même si les déguisements ne sont pas non plus envahissants), et où dans d’autres, on ne les voit même pas car le candidat porte une combinaison de protection…
Ah ouais, là ça valait vraiment la peine de déguiser les candidats au préalable, si c’était pour leur faire enfiler une surcombinaison qui planque leur tenue…
Je pourrais dire un peu la même chose pour le plateau de jeu et la thématique générale. J’imagine qu’il fallait un thème global, mais bon… pourquoi spécialement partir sur la thématique du voyage, hormis pour concorder au format de la finale (… qui aurait pu être mise en scène autrement, j’y reviendrai), bof. Le fait de potentiellement gagner un voyage de rêve à la fin ? On n’a pas fait un tel décor pour Le numéro gagnant sous prétexte que le vainqueur gagne un voyage à la fin (en outre, là, le voyage y était garanti, donc ça aurait été limite plus logique). Et puis vu qu’on peut gagner tout et n’importe quoi dans CFLV, si on va par là, on aurait tout aussi bien pu faire un thème « tuning automobile » sous prétexte qu’on peut remporter une voiture…
Mais bon, même si cette ambiance globale me laisse particulièrement dubitatif, je reconnais tout de même que ce jeu ne lésine pas sur ses moyens pour y parvenir.
On sent qu’il y a pas mal d’efforts et d’investissements dans la volonté de divertir le public par ce biais, ce qui fait que j’arrive quand même à avoir un peu de respect pour ce qui a été mis en place, y compris pour Nagui qui participe volontiers au délire et joue le jeu lui aussi.
Et je reconnais que ça reste relativement gentillet dans l’ensemble. Même si ça ne vole vraiment pas haut, au moins ça reste assez bon enfant, surtout par rapport à un autre programme animé par Nagui une vingtaine d’années plus tôt qui en était en quelque sorte un ancêtre, à savoir N’oubliez pas votre brosse à dents. Bon, je dois vous faire un aveu : à l’heure actuelle, je n’ai toujours pas regardé d’épisode de cette émission-là ; mais de ce que j’ai pu en lire ça et là, ça semblait carrément verser dans le trash et l’humiliation… pas très impatient de le critiquer si je m’y attaque un jour, à ça (cela dit, est-ce un jeu TV à proprement parler ? … j’en doute, donc comme techniquement ce n’est pas mon rayon, peu de chances de le traiter. Ouf !).
Cela dit… ces efforts ne suffisent pas à rendre ce jeu drôle pour moi.
Certes, je mentirais en disant que je me suis ennuyé à mourir, parce qu’il y a quand même eu des moments qui m’ont fait sourire… mais c’étaient surtout ceux qui m’ont vraiment surpris, et qui venaient par exemple de la réaction inopinée de certains candidats. Or, ça, dans quasiment n’importe quel jeu TV, on peut en avoir, y compris dans des jeux sérieux comme Questions pour un champion ou Des chiffres et des lettres où je pourrais en citer facilement…
En revanche, si le jeu fait exprès de provoquer des situations censées être drôles, ça ne va pas me faire rire. Une épreuve où les candidats doivent s’affronter dans un duel de culture générale dont la spécificité est de planquer les buzzers dans une marmite à fondue en rajoutant des effets sonores aussi ridicules que ceux employés dans Tout le monde veut prendre sa place pour mettre fin aux extraits musicaux (à croire que c’est vraiment un truc chez Nagui, ça…), franchement je ne trouve pas ça drôle, juste navrant. C’est une façon totalement téléphonée de provoquer l’hilarité, où on fait exprès de mettre le candidat dans une situation malaisante pour lui, qui ne fonctionne plus chez moi depuis l’adolescence (et qui, en tant qu’adulte, peut carrément m’irriter quand c’est particulièrement mal exploité, comme dans Fort Boyard depuis les années 2010).
Pour paraphraser un certain antagoniste dans Le Roi Lion : je patauge dans l’imbécillité.
Bref… à ce niveau, ce jeu est à réserver surtout pour ceux qui aiment bien ce genre d’ambiance ; mais pour les autres, passez votre chemin.
Certes, le reste des points que je vais énumérer a quand même un peu de positif qui mérite d’être relevé… mais pas suffisamment non plus pour compenser un style d’ambiance dont on n’est pas fan.
La sélection des candidats
A l’instar du Juste Prix, les candidats sont sélectionnés parmi le public ; mais toutefois, ils ne sont pas choisis juste comme ça et doivent « mériter » leur place.
Le public est séparé en deux côté ; Nagui va d’abord aller poser des questions d’un côté pour sélectionner un candidat de ce côté-ci, puis idem pour l’autre côté.
Le principe de sélection est simple : on pose trois questions à la suite, et celui qui pense avoir les trois réponses lève la main pour les citer dans l’ordre. S’il a bon sur les trois réponses, il est candidat ; sinon, une autre personne est interrogée.
Bon, c’est là qu’on sent que le fait de vouloir « ambiancer » le jeu se fait légèrement au détriment de la mécanique de sélection, car ça reste quand même légèrement fouillis.
Déjà, le fait de lever la main pour donner les réponses… le public est quand même plutôt bien garni, je dirais qu’il y a à la louche une bonne soixantaine de personnes de chaque côté, voire plus. Donc pour voir précisément qui a levé la main en premier à chaque fois… difficile de penser que ça se joue vraiment complètement à la rapidité.
Ensuite, le fait de poser les trois questions, pourquoi pas. Je reconnais que c’est même un peu amusant de poser les trois à la suite, en demandant un effort supplémentaire de mémorisation pour répondre dans l’ordre, même si ça reste évidemment plus accessible que le Burger de la Mort de Burger Quiz avec ses 10 questions. Le problème que j’ai avec ça, en revanche, c’est qu’il suffit que quelqu’un donne la bonne réponse pour les deux premières questions, mais se plante sur la troisième, pour que les autres puissent piquer les bonnes réponses déjà citées (Cyril Féraud dirait « 1, 2, 3, copieur » là). On aurait pu éventuellement jouer avec le flou en ne dévoilant qu’après qu’un candidat a donné les trois réponses s’il a fait un sans faute ou non, pour minimiser ce désagrément…
Bref, même si c’est plutôt une bonne intention d’avoir mis ce système de sélection, on aurait pu faire légèrement mieux, au final.
Oui, ça va un peu de soi, mais le niveau des questions n’est pas non plus particulièrement relevé.
Les duels
Les duels consistent en des épreuves un peu loufoques, dans lesquelles les duellistes jouent à un jeu proposé par la production.
Concernant les jeux en question, ils peuvent être de n’importe quel type : certains peuvent faire appel à la mémoire, d’autres à de l’agilité, d’autres à de la culture générale… et parfois combiner plusieurs qualités requises.
Déjà, on a un petit problème : le caractère aléatoire des duels fait que certains candidats auront un peu injustement des prédispositions pour mieux les réussir que d’autres, puisque les qualités requises peuvent varier. Par exemple, pour une épreuve qui nécessite de faire des allers-retours entre un bain de mousse et des pupitres, si la personne n’a pas une bonne condition physique, elle perdra du temps juste à cause de ça… alors qu’elle aurait aussi pu tomber sur un duel de mémoire, où elle n’aurait pas eu besoin de bouger du fauteuil dans lequel elle est assise.
Bon, ce n’est cependant pas le seul jeu qui peut avoir ce type de problème, certes ; je parlais du Juste Prix un peu plus haut, et lui aussi avait le léger inconvénient de proposer des épreuves qui pouvaient nécessiter des qualités aléatoires.
Cela étant, même si certains jeux ne volent pas très haut, j’apprécie un peu la diversité qui y est présente.
L’émission ne jouait en effet pas systématiquement les trois mêmes jeux à chaque fois, donc ça permettait d’éviter un peu la lassitude ; en outre, les jeux en question jouent sur des qualités assez variées, et parfois en en combinant certaines. Ainsi, j’ai beau trouver ridicule le jeu où un candidat doit percer des ballons avec sa tête, ça fait quand même un peu appel à son agilité ; et comme on y demande de reconstituer des couples et des binômes célèbres, il fait aussi appel à de la culture générale.
Ici, il faut se souvenir des objets que l’on voit dans la séquence donnée. Bon, il y a de tout et surtout de n’importe quoi, mais l’exercice de mémorisation n’est pas inintéressant.
La finale
La finale se joue avec les trois gagnants des duels précédemment joués, en commençant par celui qui a remporté le premier duel. Pour le coup, l’ordre de passage des candidats se fait de façon naturelle, puisque ça reste le « premier » candidat à avoir été sélectionné qui a l’avantage.
Chacun leur tour, ils devront aller chercher une valise sur un tapis roulant (oui, au bout d’un moment, il fallait bien justifier le titre de l’émission…), sachant que celles-ci sont numérotées de 1 à 11, et existent toutes en deux exemplaires (sauf la 11, qui n’est qu’en un seul). Puis le candidat va répondre à une question à quatre propositions de réponse, dont le niveau de difficulté équivaudra (bon, c’est subjectif, mais c’est l’idée) au nombre de points en jeu, nombre de points qui correspond au chiffre présent sur la valise. S’il répond correctement, il garde la valise et remporte le nombre de points indiqué ; sinon, il doit aller la reposer sur le tapis.
Le but étant d’être le premier candidat à atteindre 21 points.
Sur le papier, c’est un très bon principe : il y a un côté plutôt stratégique entre le fait de choisir des questions plus simples mais avoir un score qui monte moins vite, et des questions plus corsées mais prendre le risque de ne pas pouvoir y répondre. Ce qui est accru par la concurrence des autres candidats, qui auront eux aussi leur stratégie.
Et, comme je le disais un peu plus haut, l’ordre de passage lèse certes les candidats qui passent en deuxième et en troisième, mais il les lèse de façon « logique » (puisqu’ils ont été qualifiés plus tardivement que le premier), donc il n’y a pas trop d’injustice à ce niveau-là, même si le premier candidat peut directement faire 11 et 10.
Mais bon… comme c’est un jeu qui repose surtout sur son ambiance davantage que sur la finesse de ses règles, ça donne surtout quelque chose d’un peu brouillon au final, un peu comme la façon de sélectionner les candidats avant chaque duel.
Déjà, la mise en scène pour aller chercher les valises sur le tapis est dispensable. C’est un peu comme pour l’ambiance globale du jeu : on aurait pu s’en passer pour faire quelque chose de plus simple, et qui ne vienne pas s’interposer au détriment des candidats (encore une fois, le confort des déguisements et l’histoire de condition physique peuvent légèrement jouer…).
Mais surtout, je n’ai pas précisé que cette phase est entièrement chronométrée. Les candidats disposent de cinq minutes pour avoir le score le plus haut possible (si à l’issue du temps imparti, personne n’a 21 points, c’est le plus proche de ce score qui gagne) ; et, du coup, on peut avoir des pertes de temps qui impacteront les autres candidats d’une façon pas très juste. Un candidat qui met trop de temps à aller chercher une valise ou qui mettra un peu trop de temps à répondre à une question, Nagui qui aura envie de blablater un peu à la suite d’une question (j’ai horreur des animateurs qui oublient qu’une phase est chronométrée et que ça ne laisse pas la place à du blabla ou à des remarques personnelles…), etc.
D’ailleurs, au final, ce chronomètre n’apporte rien. On aurait tout aussi bien pu avoir la même mécanique, en moins brouillon, en remplaçant le chronomètre par un nombre de questions maximum par candidat (par exemple, 6 ou 7 questions), et là ça aurait rendu les phases de chargement de valises un peu plus fluides (et Nagui aurait pu raconter des trucs pendant la finale sans problème).
Fait intéressant : on peut aussi ne pas se déplacer jusqu’au tapis roulant et directement prendre la valise de l’adversaire précédent s’il a mal répondu.
Ca permet de gagner du temps… enfin, si Nagui n’en fait pas perdre avec une vanne juste après…
Bref. Le candidat qui a gagné la finale a donc le droit d’ouvrir l’une de ses valises, pour y découvrir un cadeau à la valeur aléatoire (sachant que cette fois-ci, le nombre de points de la valise n’a rien à voir avec la valeur du cadeau), qu’il pourra toutefois échanger avec le contenu d’une autre valise si ce cadeau-ci ne lui plaît pas. Sachant qu’on peut remporter à peu près tout et n’importe quoi, je cite : « Les gains peuvent aller de la babiole au voyage de rêve ».
J’en avais parlé au sujet de Chacun son tour, mais je ne suis franchement pas fan des surprises aléatoires comme celles-ci, histoire de faire du gag facile (encore un argument contre l’ambiance forcée de ce jeu…) ; et c’est encore pire quand c’est censé être le gain « final » du candidat. Alors, certes, on propose une petite échappatoire au cas où le premier cadeau ne serait vraiment pas terrible, mais là encore, aucune garantie de tomber sur du mieux après…
La malle
Cela étant, le candidat a quand même l’occasion de tenter de gagner un montant cash, s’il parvient à deviner ce qu’il y a dans la malle mystérieuse présente sur le plateau de jeu.
Ca fonctionne sur le même principe que le Schmilblic : on pose des questions auxquelles la voix-off répond par « Oui » ou par « Non » pendant 30 secondes, puis à l’issue du temps imparti, le candidat propose un objet. Si c’est le bon, il remporte la cagnotte mise en jeu ; sinon, celle-ci est remise en jeu le lendemain en ayant un peu plus grimpé au passage, avec le même objet à trouver (et les questions déjà posées rappelées au préalable).
Bon, c’est surtout à considérer comme du bonus feuilletonnant de fin d’émission, façon Etoile mystérieuse des 12 coups de midi. Ca ne se connecte pas au reste de l’émission… mais pourquoi pas. Et ça permet aussi de compenser légèrement le côté aléatoire du gain de la finale, même si ça dépend du niveau d’avancement des indices déjà donnés (oui, c’est toujours le côté assez injuste de ce genre de jeu feuilletonnant : selon le moment où le candidat participe, il peut avoir le sentiment de se faire entuber…).
Total : 10/20
Chéri(e), fais les valises ! est un jeu qui… délivre ce qu’il promet.
Je ne m’attendais clairement pas à du cinq étoiles, et ce n’est effectivement pas ce que j’ai eu. Cette émission est quelque peu brouillonne sur les bords, et surtout n’est qu’un prétexte pour proposer du divertissement léger, qui parvient tantôt à me faire un peu sourire, et tantôt à me laisser perplexe. Plutôt touché-coulé, donc.
Néanmoins… ça reste globalement inoffensif. Honnêtement, je m’attendais à pire niveau stupidité en découvrant ce concept ; et même s’il ne vole pas bien haut, je ne le trouve pas affligeant pour autant, avec même quelques idées plutôt recherchées dans le lot qui valaient la peine à elles seules.
Bref, ce n’est clairement pas un programme que j’aurai envie de me revisionner très souvent (loin de là), mais il m’a un peu plus agréablement surpris (j’insiste sur le « un peu », hein…) que je ne l’aurais pensé au premier abord.
Bon, cela étant, ça fait quand même deux jeux de suite que je traite qui ont un principe basé uniquement sur du divertissement léger au ras des pâquerettes.
Aussi, pour la prochaine fois, j’aimerais plutôt traiter un jeu qui se prend davantage au sérieux… quitte à sortir un peu de nos frontières.